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Poursuivre le dialogue entrepris avec les partis politiques et les partenaires sociaux
Ces dernières années, il y a une rupture de dialogue social entre le gouvernement, les partis politiques et les partenaires sociaux. Pourtant, depuis 2015 des dialogues ont été initiés pour aplanir les différends entre les acteurs sociopolitiques du pays. Ces dialogues avaient souvent aboutis à des accords. Mais, la '''violation'' de certains de ces consensus par le gouvernement a replongé le Pays dans des crises, occasionnant une rupture ''brutale'' du dialogue. Le refus de la plupart des partis politiques d'oppositions à prendre part aux élections législatives et référendaires du 22 mars 2020 à cause de certains griefs liés à la révision de la constitution de 2010 et les crises répétitives dans le secteur de l'éducation entre l'Etat et le Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée (SLECG) sur l'augmentation des salaires des enseignants.
En revanche, le ministère de l’unité nationale et de la citoyenneté dit faire des efforts mais avoue ses limites, arguant que c’est le département de l’administration du territoire et de la décentralisation qui en a les compétences.